Atteint d'une maladie incurable, Yvan Amar a fait le choix d'attendre la mort chez lui, sereinement, entouré de sa famille et de ses amis, plutôt que de tenter de gagner un peu de temps dans l'anonymat d'un hôpital. Il s'est éteint paisiblement, sans souffrance, ses affaires en ordre, dans les bras de sa femme. Il avait quarante-neuf ans. Si son histoire nous frappe autant, c'est qu'elle va à contre-courant de la façon dont notre société cache et refuse la mort. Pourtant, envisager la mort, c'est envisager la vie. Pour en profiter pleinement d'abord, puis pour la clore dignement, en laissant à ses proches un souvenir d'affection et de vitalité.En s'appuyant sur l'expérience de l'un de ses amis,
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