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La prophétie symbolique de la Grande Pyramide

La prophétie symbolique de la Grande Pyramide

Dès 1936, Harvey Spencer Lewis, responsable mondial de l'Ordre de la Rose-Croix, affirme que la grande pyramide de Gizeh n'est pas un tombeau, comme l'affirment alors les scientifiques, mais "un monument de sagesse et de prophétie contenant, sous une forme durable, les faits saillants de l'histoire du passé, du présent et de l'avenir"

1er extrait

Chez les mystiques ou les membres des écoles de mystères en Égypte, la tradition veut que la Grande Pyramide était grande à plus d’un titre. En dépit du fait que personne n’a pu pénétrer pour en voir l’intérieur à des époques plus récentes, jusqu’à l’an 820 de notre ère, les écoles secrètes d’Égypte ont toujours affirmé que l’intérieur leur en était bien connu, qu’il ne s’agissait pas de la tombe d’un grand Roi, ni d’une chambre funéraire de quelque sorte que ce soit, sauf qu’il y existait une chambre pour des funérailles symboliques entrant dans un rituel ancien d’initiation.

Selon cette tradition mystique, dont beaucoup d’anciens chercheurs et historiens se sont longtemps moqués en les tournant en ridicule, il y avait des passages souterrains par lesquels on pouvait pénétrer à l’intérieur de la Pyramide, progressivement, par étapes successives d’initiation, avec différentes chambres mystiques à l’issue de chaque stade initiatique, l’ultime étape étant représentée par la Chambre du Roi, qui d’ailleurs, portait un tout autre nom dans l’ancien rituel.

Peu à peu, quelques-unes des relations contenues dans les traditions se vérifièrent, comme par exemple lorsqu’on découvrit un passage reliant le Sphinx et la Grande Pyramide, puis, un autre passage entre le Sphinx et un temple souterrain voisin, ensuite une cour secrète ou un temple découvert entre les pattes et le poitrail du Sphinx ; cependant, avant que ces découvertes ne soient faites, il n’était pas possible de prouver les allégations de la tradition.

2ème extrait

Suivant la tradition et quelques manuscrits mystiques partiellement révélés récemment, la Grande Pyramide ne serait que le point central d’un magnifique ensemble symbolique, d’une région de l’Égypte renfermant un mystère dans chaque mètre carré de sa surface. De même que pour tout autre temple de mystères, il y a des récits, rapports et traditions, que des savants tiennent pour apocryphes et que beaucoup de soi-disant autorités tournent en ridicule.

Mais, au cours des derniers siècles, bon nombre de ces traditions sont passées, grâce aux fouilles entreprises depuis, de la catégorie de la simple fiction mystique dans celle des faits. Pendant des siècles, il s’est murmuré une histoire selon laquelle il existait, devant le Sphinx, une cour de cérémonie enfouie sous les sables et dans laquelle des cérémonies initiatiques se tenaient, préalablement à l’entrée de la Pyramide.

Pendant des siècles, cette rumeur a été l’objet des sarcasmes des géologues, de quelques historiens et de nombreux habitants et notables du pays. Cependant, il y a quelques années, le sable, autour et à la partie antérieure du Sphinx, a été enlevé, révélant le très beau dallage d’une cour, entre les pattes et le poitrail du Sphinx. Au centre de cette cour, se trouve un autel symbolique d’un type non utilisé dans le sacerdoce des religions d’Égypte, mais connu pour avoir sa place dans les temples de mystères pour les cérémonies d’initiation. Ainsi, l’ancien dallage a revu le jour, et la lumière de la vérité a confirmé une des vieilles traditions. Une autre de ces traditions voulait qu’une grande dalle mobile en pierre devant le poitrail du Sphinx, entre ses pattes, obstrue l’entrée d’un passage souterrain secret sous le Sphinx, conduisant au centre de la Grande Pyramide. Ce passage serait un accès pour les cérémonies de la cour, devant le Sphinx, jusqu’aux passages en pente menant aux chambres dans la Pyramide elle-même.

Newton ou l'alchimie au service de la science

Newton ou l'alchimie au service de la science

Alain Marbeuf nous entraîne dans un parcours haletant qui nous fait découvrir la vie, la pensée et l'oeuvre d'Isaac Newton, physicien, mathématicien, alchimiste et mystique.

Découvrez 2 extraits du livre

1er extrait

Dès son séjour chez l’apothicaire de Grantham, de 1655 à 1657, durant lequel il se familiarisa avec la spagyrie et eut ses premiers contacts avec des traités anciens qu’il ne pouvait encore lire, Newton avait côtoyé la vieille «chymie». À son retour à Grantham quelques mois plus tard, son nouveau logeur n’est autre que le frère de son maître d’études, « féru de théologie et secrètement féru d’alchimie », assure J.-P. Auffray, tandis que son apprentissage du latin lèvera l’obstacle de la langue.

Nous avons déjà cité Henry More pour son influence sur Newton. En tant que néo-platonicien, cet auteur connaissait Jean d’Espagnet (1564-1637) et le« Cosmopolite » : chez ce dernier, l’Air rappelle en effet l’Esprit universel du théologien anglais. Quant à Robert Boyle, il fréquentait les alchimistes d’Oxford dans un estaminet de la ville qui deviendra le Dès son séjour chez l’apothicaire de Grantham, de 1655 à 1657, durant lequel il se familiarisa avec la spagyrie et eut ses premiers contacts avec des traités anciens qu’il ne pouvait encore lire, Newton avait côtoyé la vieille « chymie ».

À son retour à Grantham quelques mois plus tard, son nouveau logeur n’est autre que le frère de son maître d’études, «féru de théologie et secrètement féru d’alchimie », assure J.-P. Auffray, tandis que son apprentissage du latin lèvera l’obstacle de la langue. Nous avons déjà cité Henry More pour son influence sur Newton. En tant que néo-platonicien, cet auteur connaissait Jean d’Espagnet (1564-1637) et le « Cosmopolite » : chez ce dernier, l’Air rappelle en effet l’Esprit universel du théologien anglais. Quant à Robert Boyle, il fréquentait les alchimistes d’Oxford dans un estaminet de la ville qui deviendra le lieu de réunion d’un « Invisible College9 » et installa un laboratoire : c’est là qu’il engagea le jeune Robert Hooke (1635-1703)10, dont nous reparlerons au chapitre suivant. Inséré dans cette mouvance dès 1645, Boyle, théologien, à la fois physicien et alchimiste11, agira constamment comme le mentor de Newton, qui le respectera toujours.

2ème extrait

La pensée religieuse de Newton exprime une admiration sans bornes pour le Divin créateur. N’écrivit-il pas dans la deuxième édition des Principia : « Cet admirable arrangement du Soleil, des planètes et des comètes ne peut être que l’ouvrage d’un être tout- puissant et intelligent [...]. Le Très-Haut est un Être infini, éternel, entièrement parfait. » Plus loin, sir Isaac énumère le triptyque de qualités que l’intelligence humaine est capable de déceler en Dieu : « Il est éternel et infini, tout-puissant, et omniscient, c’est-à-dire qu’il dure depuis l’éternité passée et dans l’éternité à venir, et qu’il est présent partout dans l’espace infini : il régit tout ; et il connaît tout ce qui est et tout ce qui peut être. Il n’est pas l’éternité ni l’infinité, mais il est éternel et infini, il n’est pas la durée ni l’espace, mais il dure et il est présent ; il dure toujours et il est présent partout ; il est existant toujours et en tout lieu, il constitue l’espace et la durée. »

Nous comprenons mieux ce qui différencie la pensée newtonienne de celle des héritiers de Descartes ou de Spinoza, et en premier lieu de Leibniz : le Dieu de Newton était un Créateur actif à chaque instant et en tout lieu, un « Grand Architecte » réparant l’« Horloge du monde », alors que pour Leibniz, celle-là était déconnectée de son Créateur. 

Découvrez le catalogue 2020/2021

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Est-ce vraiment un hasard si, au moment où nous préparions ce catalogue, au début de l'année 2020, nous avions choisi "La philosophie ou l'amour de la sagesse" comme thème présenté en  première page ?

Les événements de l'année ont prouvé à quel point le manque de valeurs réelles et  l'attachement aux seuls biens matériels,  étaient destructeurs ; ils ont aussi révélé que notre société moderne doit se remettre en cause fondamentalement si elle veut survivre et offrir un avenir heureux aux jeunes générations. Ils ont enfin rappelé qu'il existe des Lois naturelles que l'homme doit respecter et avec lesquelles il doit vivre en harmonie. On ne peut qu'espérer et oeuvrer pour qu'enfin ces principes soient reconnus par le plus grand nombre.

A travers les différents thèmes que nous avons choisi de vous présenter, nous avons essayé, pour notre part, de souligner que le bonheur peut jaillir non pas de l'abondance de biens matériels mais de la manière dont nous savons apprécier l'écoute d'une belle musique, la lecture d'un livre inspirant, une promenade dans la nature, une réflexion ou une méditation sur le temps qui passe...

Puissions-nous tous aspirer à ces choses simples de la vie tout simplement parce qu'en elles réside l'essentiel.

Ouvrons les yeux sur les dangers de l'informatique et devenons responsables.

Ouvrons les yeux sur les dangers de l'informatique et devenons responsables.

Dans ce livre passionnant, Lionel Loiseau nous livre tous les rouages utilisés par les grandes sociétés pour créer des besoins trop souvent artificiels et éphémères. Comment alors utiliser intelligemment et librement cette technologie ?

Quelques extraits du livre :

Les réseaux sociaux et nos vrais « amis»

Les réseaux sociaux sont des«lieux»de sociabilité inédits dans notre histoire. Ils nous conduisent   à repenser nos relations d’amitié enprofondeur.

On constate ainsi qu’un célèbre footballeur, qu’une incandescente chanteuse sud-américaine et qu’un acteur musculeux cumulent individuellement plus de cent millions d’amis sur Facebook. Pourtant, Aristote le disait déjà : « Ce n’est pas un ami celui qui est l’ami de tous. »

On l’aura compris, nos « amis » sur les réseaux sociaux ne sont pas tout à fait les mêmes que ceux de notre « real life ».

Avec le numérique,nous sommes passés à une société d’individualisme en réseau,où le lien social fort, physique, traditionnel et amical est complété par des liens faibles, numériques, nombreux et variés, créant ainsi une nouvelle chronologie affective fondée sur l’hyperconnectivité et l’immédiateté.

C’est une nouvelle manière d’exister aux yeux du monde et des autres,où nous pouvons cultiver des rapports continus avec des amis sans contrepartie d’intimité, où nous pouvons entretenir l’illusion de la compagnie sans les exigences de l’amitié.

Et le numérique dans tout ça ?

Dans ce contexte, le numérique est plus que le digne héritier du productivisme et de notre civilisation extractiviste et «thermo-industrielle». Dans le monde réel comme dans le monde virtuel, l’abondance généralisée d’ordinateurs, de téléphones, de tablettes, de serveurs, de puissance de calcul et de transmission, d’objets connectés, s’effectue au détriment de la facture — ou plutôt du « fardeau » —écologique.

Dépendant exclusivement de l’énergie électrique, l’empreinte écologique du numérique est loin d’être négligeable, même si elle paraît moins visible que la consommation en CO2 de nos véhicules2. Il nous paraît difficile de croire que nous polluons en papillonnant sur Internet depuis notre canapé. Et pourtant, si Internet était une nation, elle serait la troisième plus grosse consommatrice d’électricité de la planète.

Dans un rapport de juillet 2019 baptisé «Climat: l’insoutenable usage de la vidéo en ligne», le Shift Project expose en contexte que le numérique émet 4 % des gaz à effet de serre du monde, soit davantage que le transport aérien civil. Cette part pourrait doubler d’ici 2025 pour atteindre la part actuelle des émissions des voitures.

 Nous le savons, trois Français sur quatre utilisent un smartphone quotidiennement. Cetobjet devenu indispensable est peut-être celui qui nous connecte le plus au monde, mais aussi, paradoxalement, celui qui nous éloigne le plus de la nature.

Car ces objets connectés sont de véritables désastres écologiques. À eux seuls, ilscristallisent tous les grands enjeux environ- nementaux du numérique. Ils sont gloutons en énergie, fabriqués à partir de matériaux rares et toxiques dont l’extraction pollue les sols, les eaux, et défigure le paysage. Leur obsolescence est programmée, mais les dispositifs de recyclage sont sous-développés dans les mêmes proportions.

 

Rudolph Berrouët

Rudolph Berrouët

"La prière est un art. Comme tout art, elle nécessite une compréhension préalable, puis de la pratique"

Extrait du chapitre « Qu’est-ce que la prière ? » Dans son sens mystique, la prière s’apparente à un dialogue intérieur, une conversation intime portant sur un sujet de notre choix, entre Dieu, tel que nous le concevons, et nous ; ce « nous » étant notre âme, la partie divine en nous. Elle permet aussi, et elle n’en est pas moins utile, de simplement s’harmoniser avec le Divin. La prière n’est cependant pas le seul outil mis à notre disposition pour nous adresser au Divin. La méditation en est le complément naturel. Ensemble, elles constituent les deux piliers fondamentaux de toute pratique mystique et de tout cheminement initiatique.

Extrait du chapitre « Qui ou que prier ? » Quant au contact par la prière avec un être de sagesse (nommez-le Maître, Rose-Croix, Réalisé, Ange, Saint, Être de lumière, ou en utilisant tout autre vocable approprié ; ce comme vous le souhaitez ou l’entendez), il ne s’effectue pas dans le but de demander à cet être purement spirituel d’intercéder en notre faveur, comme on le voit ou l’entend souvent de la part de fidèles de certaines religions. Il correspond de préférence à une immersion ponctuelle dans un plan de conscience supérieur, au contact duquel il nous est possible de recevoir un influx de sagesse capable de nous orienter dans nos choix et nos décisions.

Extrait du chapitre « Différentes formes de prières " La prière silencieuse ou sans paroles Dans ce type de prière, d’une puissance considérable, car émanant du Divin en lui, l’orant n’utilise pas de prières toutes faites. Il fait silence — parce qu’il ressent le besoin impérieux de rentrer en lui-même, de se recueillir — et se met à l’écoute de son Moi intérieur, Dieu en lui. Alors les pensées fusent dans son esprit, puissantes, lumineuses et pénétrantes. Et les paroles non prononcées qui y sont associées résonnent dans sa tête, avec la force de conviction nécessaire accompagnée de son cortège d’émotions qui élèvent l’âme. Ainsi, dans la prière silencieuse, ce n’est pas l’orant qui prie Dieu ; c’est au contraire Dieu qui prie en lui.

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