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DRC Mag

Nicolas & Eléna Roerich, l'union spirituelle

Nicolas & Eléna Roerich, l'union spirituelle

Extrait du chapitre « L’Himalaya, demeure de Lumière »

Après avoir contemplé en silence les visages de Nicolas, Éléna et Georges, le lama leur fait ce récit :

« En vérité, le temps est venu où l’Enseignement du Béni va à nouveau se répandre du nord au sud. Le mot Vérité qui a commencé son grand cheminement depuis Bodhigaya va revenir sur les mêmes lieux. Nous devons accepter avec simplicité ce qui est : le fait que le véritable enseignement quitte le Tibet et apparaisse à nouveau au sud. Et dans tous les pays le pacte d’alliance du Bouddha se manifestera. En réalité de grandes choses arrivent. Vous venez de l’ouest et vous apportez des nouvelles de Shambhala, nous devons l’accepter ainsi. Il est probable que le rayon de la tour de Rigden-jyepo ait atteint tous les pays.

La lumière de la Tour de Shambhala resplendit comme un diamant. Il est là – Rigden-jyepo, infatigable, toujours vigilant pour la cause de l’humanité. Ses yeux ne se ferment jamais. Et dans son miroir magique il voit tous les événements de la terre. Et la puissance de ses pensées pénètre tous les pays éloignés. La distance n’existe pas pour lui ; il peut instantanément porter assistance aux personnes qui en sont dignes. Sa lumière puissante peut détruire toute l’obscurité. Ses richesses incalculables sont prêtes pour aider tous ceux qui veulent servir les causes vertueuses. Il peut même changer le karma des êtres humains…. - Lama, il me semble que vous parlez de Maitreya, n’est-ce pas cela ?

EXTRAIT DU CHAPITRE « LA MISSION SACRÉE »

C’est à Londres, à Hyde Park, que le couple Roerich rencontre le 24 mars 1920 l’un d’entre eux, Maître Moriah, qui va par la suite leur transmettre l’enseignement de l’Agni Yoga et de l’Éthique Vivante. Enseignements qui feront l’objet de publications dans les années 1930. Puis, ce sera le Maître Kut-humi, tous deux cités ainsi dans les écrits d’Éléna : « M. » et « K.H ». C’étaient les Instructeurs qui avaient guidé Helena Blavatsky ; elle avait elle-même rencontré le Maître Moriah à Hyde Park, sous l’apparence d’un Rajaput, un prince indien, à l’occasion d’une visite à Londres pour l’Exposition Internationale.

On ne sait pratiquement rien de ces rencontres, mais c’est à partir de ce moment que se mirent en place progressivement des contacts occultes leur permettant d’avoir accès à des connaissances d’un niveau spirituel élevé. Du reste, Nicolas, tout comme Éléna, avaient en quelque sorte été avertis dans leur plus jeune âge des liens qui se noueraient plus tard avec M. Pour Nicolas, c’est à l’âge de dix-sept ans qu’il fait à trois reprises le même rêve, où un personnage d’une grande taille venait l’enlacer, rêve qui l’effrayait car il n’en comprenait pas la signification. Pour Éléna, c’est à l’âge de vingt-quatre ans, qu’elle reçoit une impulsion émanant de M. Elle se sent attirée par les œuvres de Ramakrishna et Vivekananda, dont elle entreprend la lecture, puis se penche sur l’enseignement du yoga. C’est à New York que s’établit un contact régulier avec le Maître Moriah. Nicolas Roerich consigne alors en écriture automatique l’enseignement reçu, ce qui est attesté par les archives manuscrites d’Éléna. Sina Fosdick rencontrée peu après leur arrivée sur le sol américain, devenue une amie fidèle du couple, assistera à ces séances et précise dans ses mémoires que ce n’étaient pas des séances de « spiritisme », comme on pourrait le penser, Nicolas Roerich agissait en « pleine conscience » dit- elle.

EXTRAIT DU CHAPITRE « LES ÉCRITS DE NICOLAS ROERICH »

Ce sujet fondamental, objet de tant de questionnements, d’incompréhensions, de querelles, ne pouvait manquer d’être abordé par Nicolas Roerich dans ses réflexions, aussi lui accorde-t-il une place au cœur de ses écrits, en relation avec la Hiérarchie de la Lumière.

« Cette vénération de la Hiérarchie de la Lumière venant du cœur est une manifestation d’une foi inébranlable en Dieu. Au-delà de cela, ne se manifeste pas seulement une croyance mais une perception de Dieu, qui conduit non seulement à rechercher Dieu, mais la manifestation de Dieu. Cette Connaissance de l’omniprésence de Dieu existant dans chaque grain de sable, ne minimise pas seulement sa Grandeur, mais au contraire relie la réalité à toute les conditions subtiles, à tous les mondes lointains, à tout ce qui est perçu par l’oeil humain et en plus à tout ce que le cœur humain connaît dans les profondeurs les plus intimes de son être. Le Coeur – le Soleil des Soleils – cet Autel de la Toute-puissance ! En vérité, la science et les grandes religions ne sont pas séparées.

Conversations spirituelles

Conversations spirituelles

Extrait du chapitre Se changer pour changer le monde

« À 20 ans, je n’avais qu’une seule prière : Mon Dieu, aide-moi à changer le monde, ce monde insoutenable, invivable, d’une telle cruauté, d’une telle injustice. Et je me suis battu comme un lion. Au bout de 20 ans, peu de chose avait changé. Quand j’ai eu 40 ans, je n’avais qu’une prière : Mon Dieu, aide-moi à changer ma femme, mes enfants, ma famille. Et je me suis battu comme un lion pendant 20 ans, sans résultat. Maintenant, je suis un vieil homme et je n’ai qu’une prière : Mon Dieu, aide-moi à me changer. Et voilà que le monde change tout autour de moi. »

Extrait du chapitre Cueillir la joie

Philia - Outre le plaisir et le bonheur, il existe un troisième état procurant un immense contentement, une émotion intense, un moment d’euphorie, c’est la joie.

Philos - Elle diffère du plaisir parce qu’elle touche l’être dans son ensemble : le corps, l’esprit, le cœur et l’imagination. Elle diffère aussi du bonheur parce qu’elle est spontanée et ponctuelle.

Philia – Le philosophe Nietzche fournit une intéressante description de la joie : « On aboutit à la joie parfaite lorsque l’on consent totalement à la vie, malgré les entraves, malgré les blessures. »

Philos – Cueillir la joie, c’est recevoir la vie comme un cadeau et non comme un fardeau.

Extrait du chapitre Nourrir l'espoir

Philia – Comme l’affirme Winston Churchill : « Le pessimiste voit la difficulté dans chaque opportunité. L’optimiste voit l’opportunité dans chaque difficulté. »

Philos – Plutôt que regarder en arrière, les yeux pleins de regrets, il vaut mieux regarder en avant, les yeux pleins d’espoir.

Philia – J’admire ceux qui continuent à danser même lorsque la musique s’est arrêtée.

Philos – L’espérance ne dépend pas tant de nos gènes que de notre détermination.

Philia – D’après Hubert Reeves : « L’ampleur de la prise de conscience écologique donne espoir d’un avenir plus vert et plus humain. »

Philos – Selon la journaliste française, Bénédicte Manier : « Des pionniers d’un monde nouveau proposent des solutions innovantes à la plupart des maux de la terre."

La maîtrise de soi et le destin avec les cycles de la vie

La maîtrise de soi et le destin avec les cycles de la vie

Extrait du chapitre « Les périodes des cycles terrestres »

Le voyage de la vie ressemble beaucoup à un voyage en mer. Chaque vie part d’un point différent. L’observation empirique a révélé, il y a déjà longtemps que la vie de l’homme est divisée en périodes comparables aux jours du voyage sur l’océan, avec des événements déterminés correspondant à chaque période.

L’homme, en général, ignore ces périodes. Il ignore encore davantage les événements susceptibles de se produire pendant chacune d’elles. Il n’a donc aucune préparation pour les affronter avant qu’ils se manifestent et est handicapé pour résoudre les problèmes de la vie, par suite d’un manque de connaissances quant aux tendances favorables qui se manifestent dans chaque période successive.

Le cours d’une affaire, qu’elle soit commerciale, industrielle ou de toute autre nature, suit un cycle ou une série de cycles définis d’une année chacun, partant du premier jour du début de l’affaire ou du jour de l’arrivée de son nouveau propriétaire.

Chacune de ces périodes annuelles ou cycles est divisée en sections de longueur déterminée, pendant lesquelles certaines tendances, certaines conditions et certaines circonstances, vont, à coup sûr, se dresser ou se présenter et seront des plus malheureuses si on les ignore ou si elles sont mal comprises, et extrêmement heureuses si on peut les apprécier et si on sait en tirer avantage.

Extrait du chapitre « Le cycle annuel de la vie humaine avec description du cycle n°2 »

Période numéro cinq – Nous entrons ici dans ce que nous pouvons appeler la période de réussite de l’année, tout au moins en ce qui concerne les affaires personnelles ou privées. Pendant ces cinquante-deux jours, les impulsions ou tendances cosmiques apportent un heureux dénouement aux choses auxquelles nous avons œuvré ainsi qu’à celles que nous avons élaborées et mises en action. C’est à ce moment-là que nos affaires personnelles prennent de l’extension et se mettent à prospérer : l’esprit se meuble de conceptions plus élevées de courtoisie, de religion, de science, de lois et tend à la bonne camaraderie, à la sociabilité, à la bienveillance, à l’honnêteté et à la sympathie.

C’est une excellente période pour s’adresser aux avocats ou aux juges, aux hauts fonctionnaires, aux prêtres, aux médecins, aux négociants ou aux financiers. On pourra commencer de grands voyages alors que la deuxième période du cycle était favorable aux voyages de courte durée. On pourra reprendre ou entamer des études philosophiques ou métaphysiques, constituer des dossiers légaux ou encore ce qui nécessite une influence très favorable pour arriver à une fin heureuse.

Extrait du chapitre « Description des périodes du cycle de l'âme »

Période n° 1 – Ceux qui sont nés entre le vingt-deux mars et le douze mai de chaque année reçoivent en héritage cosmique une grande élévation naturelle ainsi que le désir profond d’atteindre une situation élevée et de gagner l’estime des autres. De leur incarnation précédente, ils gardent l’expérience des leçons qu’ils ont apprises et des tribulations par lesquelles ils sont passés, qui leur ont enseigné la nécessité de regarder au-dessus et au-delà des contingences ordinaires de la vie et d’avoir toujours en vue le plus haut idéal.

Les concepts majeurs du Martinisme - Doctrine et pratique

Les concepts majeurs du Martinisme - Doctrine et pratique

Extrait du chapitre "La voie cardiaque"

La voie cardiaque, enfin et comme son nom l’indique, a pour but de privilégier le cœur, véritable sanctuaire du Temple intérieur qui permet d’être illuminé par la Sagesse divine, mais qui peut aussi, si l’on n’y prend garde, faciliter les pires excès au travers de nos passions, de nos instincts et de nos défauts. Saint-Martin conceptualisait cette notion en enseignant que le cœur possède deux portes, l’une supérieure et l’autre inférieure. Il nous faut, disait-il, nous assurer de fermer la porte inférieure qui donne sur le monde des ténèbres, et d’ouvrir la porte supérieure, la seule par laquelle nous pouvons accéder à la Lumière divine. En ce sens, « la voie cardiaque est celle qui conduit l’homme à s’ouvrir au Divin et à participer à l’harmonie de la Création, en apprenant à contrôler parfaitement la porte supérieure du cœur ».

Extrait du chapitre "La prière"

Selon le Philosophe Inconnu, la prière renferme en elle toutes les vérités. « Elle imbibe notre âme de ce charme sacré, de ce magisme divin qui est la vie secrète de tous les êtres, de ce magisme qui explique la diversité des religions des hommes […] ; de ce magisme qui nous fait traverser les dangers sans les voir, supporter les fatigues sans les sentir, qui verse la paix […]. » Le mot « magisme » est à considérer dans cette citation non dans son sens habituel de « religion des anciens Perses », mais dans celui que lui donnait Balzac, à savoir que « le Magisme est la haute science qui cherche à découvrir le sens intime des choses, et qui recherche par quels fils déliés les effets naturels s’y rattachent ».

Pour que la prière produise de tels effets, il y a cependant une condition : il nous faut parvenir « à faire des prières qui prient elles-mêmes en nous et pour nous, et non pas de ces prières que nous sommes obligés d’étayer de tous les côtés, en les puisant dans des formules ou dans de puériles et scrupuleuses habitudes. » Cela implique que la vraie prière doit être vécue dans sa globalité et provenir du plus profond de notre être. Elle doit être la résultante d’une impulsion de notre âme et non le produit d’une récitation stérile. Elle doit vivifier l’être et s’opposer à la pratique codifiée d’une morne habitude. Elle doit, en outre, nous élever au-dessus du temps et rétablir l’unité en nous.

Extrait du chapitre "Les portes du coeur"

(…) la pureté demeure une notion essentielle du Martinisme. Sans la pureté de cœur, point de séjour ni de réflexion du Divin dans le cœur de l’homme, et par conséquent, pas de prise de conscience possible. Dans Le Nouvel Homme, le Philosophe Inconnu a donné une interprétation ésotérique du Sermon sur la Montagne, à savoir de ce qui est connu sous le nom des Béatitudes. L’analyse complète de ce texte justifierait à elle seule de longs développements. Aussi nous concentrerons-nous sur la sixième qui traite justement de la pureté de cœur :

« Heureux les cœurs purs, car ils verront Dieu. ».

En écho à ces paroles du Maître, Saint-Martin développe :

« Bienheureux ceux qui auront assez purifié leur cœur pour qu’il puisse servir de miroir à la divinité, parce que la divinité sera elle-même un miroir pour eux ! Le nouvel homme ne doute pas que par ce moyen il ne par- vienne intérieurement à voir Dieu, parce qu’il sait que tel était l’objet de l’existence de l’homme primitif […]. » Toutefois, parvenir à cet état nécessite un effort de tous les instants ; ce que l’hésychasme appelle « la garde du cœur », et dont la correspondance grecque, nepsis, signifie vigilance. Cette méthode consiste à porter notre attention sur tout ce qui se passe dans notre cœur en vue de nous libérer de toutes nos pensées mauvaises ou passionnées. Elle nous oblige de la sorte à observer, en spectateurs attentifs à nous-mêmes, les différentes pensées qui pénètrent en notre âme, et à discerner les bonnes des mauvaises.

Des Erreurs et de la Vérité

Des Erreurs et de la Vérité

1er extrait

Repérons-le donc, ce qui tourmente ici-bas la plupart des hommes, c'est moins de savoir s'il y a une Vérité, que de savoir quelle est cette Vérité. Mais ce qui trouble ce sentiment dans l'homme, et obscurcit si souvent en lui les rayons les plus vifs de cette lumière, c'est le mélange continuel de bien et de mal, de clartés et de ténèbres, d'harmonie et de désordres qu'il aperçoit dans l'Univers et dans lui-même. Ce contraste universel l'inquiète, et répand dans ses idées une confusion qu'il a peine à démêler. Inquiet, autant que surpris, d'un si étrange assemblage, s'il veut l'expliquer, il s'abandonne aux opinions les plus funestes, en sorte que cessant bientôt de sentir cette même Vérité, il perd toute la confiance qu'il avait en elle. Le plus grand service qu'on put lui rendre dans la pénible situation où il se trouve, serait donc de lui persuader qu'il peut connaitre la source et l'origine de ce désordre qui l'étonne ; et surtout de l'empêcher d'en rien conclure contre cette Vérité qu'il avoue, qu'il aime, et dont il ne peut se passer.

2ème extrait

Quand l'homme, s'étant élevé vers le bien, contracte l'habitude de s'y tenir invariablement attaché, il n'a pas même l'idée du mal ; c'est une vérité que nous avons établie, et que nul être intelligent ne pourra raisonnablement contester. S'il avait constamment le courage et la volonté de ne pas descendre de cette élévation pour laquelle il est né, le mal ne serait donc jamais rien pour lui ; et en effet, il n'en ressent les dangereuses influences, qu'à proportion qu'il s'éloigne du bor. Principe ; en sorte qu'on doit conclure de cette punition, qu'il fait alors une action libre ; car s'il est impossible qu'un être non libre s'écarte par lui–même de la Loi qui lui est imposée.

3ème extrait

Pourquoi donc l'homme peut-il s'écarter de la Loi des sens ? Pourquoi peut-il se refuser à ce qu'ils lui demandent ? Pourquoi, pressé par la faim, est-il néanmoins le maître de refuser les mets les plus exquis qu'on lui présente, de se laisser tourmenter, dévorer, anéantir même par le besoin, et cela à la vue de ce qui serait le plus propre à le calmer ? Pourquoi, dis-je, y a- t-il dans l'homme une volonté qu'il peut mettre en opposition avec ses sens, s'il n'y a pas en lui plus d'un Être ?

4ème extrait

Voici donc la différence infinie qui se trouve entre les deux Principes ; le bien tient de lui-même toute sa puissance et toute sa valeur ; le mal n'est rien, quand le bien règne. Le bien fait disparaitre, par sa présence, jusqu'à l'idée et aux moindres traces du mal : le mal, dans ses plus grands succès, est toujours combattu et importuné par la présence du bien. Le mal n'a par lui-même aucune force, ni aucuns pouvoirs ; le bien en a d'universels qui sont indépendants, et qui s'étendent jusques sur le mal même.

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